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2024

Stray, quand l’intelligence des chats devient un jeu

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Stray, je le connaissais. C’est un jeu que j’ai déjà essayé sur PS5 il y a quelque temps, lorsque j’étais abonné au service de Sony. C’est en le voyant en promo sur Xbox (17€99) que je me suis (re)lancé dans l’aventure ayant apprécié mes débuts…

STARDEW VALLEY (Xbox Series X)

Les autres jeux vont une nouvelle fois souffrir du retour de Stardew Valley car la verison 1.6 est enfin téléchargée. Je recommence donc une ferme depuis peu.

Une des nouveautés de cette version 1.6, l’ajout d’un marchand libraire (qui vient de temps en temps en mongolfière). Ses passages sont indiqués sur le calendrier. Il reste trois jours à chaque fois me semble t-il. Pas d’intérêt pour le moment car ma ferme débute mais les nouvelles zones ouvertes de la carte seront forcément un bel ajout pour un de mes jeux préférés (Top 3).

Hélas, cette mise à jour inclut aussi un truc insupportable pour moi (!). L’absence de caractères accentués pour la police des menus (aucun problème pour les dialogues). C’est tout simplement l’apostrophe qui manque à chaque fois. L’image ci-dessous montre bien le problème. J’espère qu’il sera corrigé mais les mises à jour de ce type sont certainement inutiles pour bien des joueurs qui s’en foutent royalement de l’apostrophe…

« J▯ai », « m▯en », toutes les apostrophes sont manquantes, c’est chiant.

STRAY (Xbox Series X, ATTENTION SPOILER !)

Vous vous baladez tranquillement avec vos amis chats et quelques minutes après, vous tombez d’une belle hauteur, avec l’impossibilité de rejoindre facilement votre groupe. Voilà, en gros, le début de l’aventure. Après cette chute, notre petit chat n’est pas bien en forme mais s’en remet assez vite, vous boitiller une poignée de secondes.

Vous decouvrer vite un petit drone qui vous accompagne discrètement tout le long du jeu et des robots qui remplacent les humains. Mais pourquoi ? Toute l’intrigue est là, vous devez découvrir ce qui se passe, et surtout, remonter à la surface pour revoir vos compagnons à pattes.

Vous pouvez laper certaines flaques d’eau (ce qui est inutile). Au début je pensais que ça allait apporter quelque chose au gameplay mais non, c’est juste mignon et réaliste.

Je vais rapidement passer sur les graphismes car, évidemment, ils sont superbes. Le jeu est plutôt connu pour étant solide techniquement. Au-delà des graphismes, les animations sont excellentes (toutes, dont bien sûr celles du chat et des personnages), et la fluidité est bien là (mode Performance). Ça a énormément ramé à un moment dans l’usine mais c’était plus un problème de surchauffe de la console je pense…

Les balades en seaux sont logiques car cette mécanique est souvent utilisé pour raccourcir le voyage de retour à une zone. N’importe quel jeu utilise une mécanique similaire pour revenir au point de départ. C’est mignon de sauter dans le seau et admirer le paysage.

Première rencontre avec un robot (le Gardien). L’aventure commence enfin. Il pense que vous êtes un ennemi mais vous ouvrira les portes grâce au petit drone que vous portez dans le dos (une espèce de harnais).

J’ai bien aimé cette pharse assez étrange… Tous les robots rencontrés ou presque ont leur petite histoire. Il est intéressant de les rencontrer tous.

Au début, je pensais que ces petites bestioles étaient mignonnes mais carrément pas. Elles bouffent tout (dont le métal) et sont le résultat de belles conneries engendrées bien sûr par les humains.

Vous pouvez dormir dans certaines zones, ce qui lance une animation chill ou la caméra s’éloigne petit à petit et où une musique légère débute.

Autant j’adore les gros yeux marrants mais ceux-là sont vraiment flippants. Je pensais affronter un boss de ce type mais non, rien. L’éradication de cette saloperie sera rapide.

Vous pouvez laper les flaques, comme indiqué plus haut, mais aussi gratter les canapés (ou autre) et vous frotter aux jambes des robots. C’est mignon car ça apporte un peu de réaliste, j’aurai quand même aimer que ça apporte quelque chose.

Les dialogues sont souvent intéressants et apportent souvent des indices. Le jeu étant plutôt généreux niveau secrets, c’est agréable.

Le jeu ne comporte pas vraiment de tares techniques. Ici cependant, le jeu descend d’une manière un peu trop simple les escaliers. L’excellente animation du chat ne relève pas vraiment ce genre de problèmes, tout est très fluide, tout le temps.

La ville vue d’en haut. Et plus tard, la même ville éclairée grâce à vous et au petit drone.

Au revoir mon petit chat. Le jeu se finit un peu brutalement je trouve car j’aurai aimé qu’il revoit son groupe, du moins qu’on voit une scène du genre.

Ma vie étant de nouveau un cauchemar ces temps-ci, je posterai tout de même quelques trucs jusqu’à mi décembre (date de la fin du nom de domaine de Critikale). Je suis en train de réfléchir à la suite.

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2024

Indiana Jones, pas de quoi se fouetter les globes oculaires

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Bon, j’admets, le titre de MachineGames a quelques atouts qui ont certainement surpris beaucoup de joueurs. Mais attention, tout n’est pas rouge (« tout n’est pas rose » est so 2023 diraient certains mous du cigare).

INDIANA JONES ET LE CERCLE ANCIEN (Xbox Game Pass)

Comme toujours, dès que je lance un jeu je regarde plusieurs trucs essentiels pour moi. Si le menu est agréable (simple, réactif et lisible), s’il donne envie d’appuyer sur « Commencer le jeu ». Je vois si l’éternelle cinématique ou présentation du jeu me convient (intéressante, jolie à regarder, compréhensible). Là, le jeu commence (si il n’est pas déjà désinstallé, oui car je prends des décisions hâtives à la con) et je scrute si le jeu jouit d’une bonne technique (graphismes corrects, animations fluides et/ou réalistes, moteur physique au point, interface limpide).

Pour Indiana Jones et le Cercle Ancien, j’ai vite remarqué que le jeu était foutrement beau (normal dans la jungle c’est souvent chouette), que l’animation était ultra fluide (60 FPS certains) et que les voix françaises officielles étaient là (du moins notre Richard Darbois adoré). J’ai été assez conquis dès le début (rare).

L’avenir a été moins glorieux et même si je le lance de temps en temps, ça reste un peu trop terne, sans vie. Étrangement d’ailleurs. Explications diverses ci-dessous.

L’écan-titre se synchronise avec votre partie actuelle (ce n’est pas forcément courant alors c’est rigolo). Et vous le savez, j’aime ce qui est rigolo, ça me fait rigoler.

Certains livres permettent de booster son personnage. Il n’y a pas d’arbre de compétence, juste des améliorations au gré de l’aventure (plus d’endurance pour grimper, plus de force, etc.).

Beaucoup d’outils et d’ustensiles sont à récupérer pour frapper nos ennemis. Il y a toujours un truc à récupérer et quelques secrets. C’est plutôt agréable de fouiller un peu partout même si cela aurait pu être améliorer.

Ma lampe adorée me poursuit dans tous les jeux, un jour j’en aurai une sur mon bureau.

Le jeu comporte quelques enigmes bien trop dirigistes. Pour le moment, j’avance sans conviction en appréciant tout de même les dialogues et le petit truc que dégage le titre de MachineGames (et édité par Bethesda).

Techniquement, on ne peut pas reprocher grand chose à cet Indiana Jones. La fluidité du titre est très appréciable, les effets de lumière(s) sont excellents, les personnages principaux sont bien foutus (les ennemis sont très dupliqués), bref, tout roule dans ce domaine. Reste le moteur physique un peu, particulier.

Même si les corps ci-dessus ont l’air d’épouser correctement le décor, le moteur physique (Havoc) et graphique (id. Tech) est un drôle de couple. Les décors d’Indiana Jones sont très figés et les ennemis tombent étrangement, lentement ou très rapidement en prenant des poses qui n’accordent aucun réalisme au poids des différents membres du corps humain. Les corps qui ne sont pas excactement sur le sol, ça c’est connu, mais même si les combats sont assez physiques (certains coups peuvent rappeler le fabuleux Condemned), cela manque d’organique, c’est d’ailleurs le point noir du jeu, le manque de vie, de ce petit quelque chose qui pourrait faire passer ce nouveau jeu en AAA et non en simple bonne sortie.

Point noir actuel du jeu : les ennemis. Idiots au possible (même les chiens !), les ennemis sont identiques dans leur physique, cerveau compris… Ici je fais du rase-motte avec mon maillet et même à bientôt 1 mètre de ma (mes) cible(s), le chien s’en branle.

VERDICT ?

Non, pas encore. Je continue mon aventure et même si ce n’est pas glorieux (et un peu triste à jouer), le français, les dialogues des protagonistes et cette manière plutôt réaliste de présenter l’aventure font que Indiana Jones et le Cercle Ancien n’est toujours pas désinstallé. Incroyable.

Prochain article ce dimanche soir sur Critikale.

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2024

Stardew Valley, le retour en 1.6

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Avant mon premier avis sur Stalker 2 et quelques news sur Critikale en fin d’article, voici une poignée d’infos de ma nouvelle partie sur l’exceptionnel Stardew Valley.

STARDEW VALLEY (Series X, mise à jour 1.6.9)

J’ai recommencé une partie, un conseil dicté par Éric Barone, pour apprécier cette 1.6. Le créateur du jeu a indiqué qu’il était préférable de recommencer depuis le début pour ne rien louper de cette 1.6. Ainsi, exit ma partie en 8e année (non supprimée bien sûr, trop de bons souvenirs) et me voilà de retour en année 1 depuis ce merveilleux jour du 4 novembre, date de la mise à jour de mon jeu préféré tous supports confondus, oui tout simplement.

Captures un peu en vrac histoire de présenter tout ça.

Une des nouveautés de cette 1.6, l’arrivée des fumoirs à poisson. Recette à 10.000 pièces d’or tout de même. Je pêche beaucoup plus qu’avant car le pognon arrive vite grâce à cela.

Une des nouveautés de cette version 1.6 (1.6.9 précisément) est l’ajout du marchand de livre, nommé assez justement le libraire, qui passe regulièrement dans la petite veille avec sa mongolfière, pratique… Pour le moment, les livres étant assez chers, j’ai dû acquérir un seul bouquin à 3.000 pièces d’or qui débloque l’affiche de la revente de chaque objet. Le montant qu’on peut gagner sur tel ou tel produit est dorénavant affiché sous celui-ci. Les livres servent à acquérir des compétences, particulières ou des bonus d’expérience. Les livres trouvés peuvent aussi être revendus.

Une machine à recompense est dorénavant disponible chez le maire Lewis. Des « tickets d’or » sont donnés lors de la résolution de missions et apportent toujours des objets assez sympas.

Petit réchaud portatif et vous voilà avec une cuisine d’appoint. Bonne idée lorsque les ingrédients se font moins rares.

Grosse nouveauté de cette mise à jour, l’ajout de l’adoption de chats et de chiens (avec le matériel qui va avec vos nouvelles boules de poils). J’ignore pour le moment si j’opterai pour un second chat ou un premier chien (jamais essayé). On va attendre d’avoir un peu plus de pognon quand même… Quand vous atteignez le niveau maximal d’amour entre vous et votre animal, un petit message tout mignon apparaît…

Belle nouveauté de cette version, c’est le changement de vêtements de tous les personnages lors de l’hiver. Ça ajoute un petit côté réaliste même si j’aurai aimé davantage de nouveautés à ce niveau.

Quelques nouveaux festivals font leur apparition (celui du desert de Calico est très sympa). Sur la capture ci-dessus, on voit aussi à droite l’ajout de meubles et objets dans le style « déchets »… Nouveautés étrange… Dispo dans une poubelle par jour d’orage pour ma part. Bizarre cette phrase.

Voilou pour le moment. je suis déjà à la deuxième année et j’adore toujours autant. Je le connais quasi par coeur mais c’est absolument hallucinant le bien que procure ce jeu dans une vie risible même si ma nouvelle maison est plus adaptée à l’avenir, mais lointaine…

L’AVENIR DE CRITIKALE

Toujours le même débat mais cette fois-ci j’ignore tout simplement si je vais renouveller le nom de domaine (un autre site ouvrira peut-être). Vraiment trop de souvenirs sur ce site et même si je voulais le laisser ouvert comme un journal intime du passé, je vais prendre cette décision dans quelques jours, avec le 1er décembre, date de fin de domaine.

Salut. Et à jamais non ?

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2024

NHL 25, l’excellence qui doit être patchée

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Les jeux NHL, une grande histoire sur Critikale . Quel progrès pour ce sport de glace et de glisse après Blades of Steel en 1990 sur Nes ? Entre autres.

Tous les ans, l’unique jeu que j’achète c’est celui-ci, le nouvel opus de la série NHL de EA Sports. Tous les ans, j’attends une démo, des news, un truc. La démo de ce NHL 25 a beaucoup tardé cette année (par d’accès anticipé cette fois) car elle est arrivée seulement 3 jours avant la sortie officielle du jeu (4 octobre). Cette démo de 10 heures m’a convaincu. Beaucoup. J’avais realisé une saison presque complète à NHL 24 (que je n’avais pas acheté mais juste téléchargé lors de sa gratuité avec le Game Pass et le « partenariat » historique de Microsoft et EA). Une saison complète avec les Islanders de Bridgeport en AHL… Équipe ayant changé son logo cette année d’ailleurs, je vais aller voir si la mise à jour a été faite.

Depuis les versions Megadrive et la possibilité de créer des joueurs, je m’obstine à conserver les vraies dates de naissance. Or, en 2024, ceux que je créé et moi-même sommes bien trop vieux. J’ai baissé dorénavant les années de naissance de 10 ans. Mais je ne vais, je pense, plus créer de joueurs plus tard.

Chose étonnante, lors de la création de joueurs, un avertissement apparait. Ce n’était pas le cas avant même si les effectifs pouvaient quand même être partagé. Comme 95 % des gens, j’ai donc accepté sans lire le contrat d’utilisateur.

ALORS ÇA DONNE QUOI CE NHL 25 ?

Et bien soyons clair. Comme était NHL 24, NHL 25 est un jeu abouti, le meilleur évident car le seul dans ce domaine de la « simulation ». Un seul truc me gonfle pour le moment, c’est les bugs assez réguliers lors des replays. L’écran devient noir car la caméra devient folle. Pourtant, et c’est d’autant plus dommage qu’il y ait des bugs, les replays sont bien plus beaux maintenant car les caméras utilisées sont largement mieux placées. Je pense que la technique n’est pas au point et que l’intelligence artificielle qui gère le placement des caméras perd un peu la boule de temps en temps. Un patch corrigera forcément de problème simplement.

Niveau graphismes, un gap a été franchi une nouvelle fois. NHL 24 était beau, NHL 25 est le même en plus fin, plus réaliste, plus humain. Les joueurs sont moins larges, plus affinés. Les équipements de hockey sont certes amples mais pas au point que montrait les jeux d’EA. Les visages sont enfin évolués mais ça reste très perfectible. Certains joueurs se reconnaissent et j’ai enfin remarqué que les joueurs Noirs sont… Noirs. Pas comme NHL 24.

J’ai choisi les Sharks de San José pour ma saison (en NHL donc cette fois-ci) et l’ami Givani Smith a enfin un physique réaliste. Pourquoi San Jose et pas Boston comme depuis 20 ans ? Très simple, j’ai voulu prendre la pire équipe de la NHL (l’an dernier, dernier de la NHL avec 47 points) vu que j’ai créé 7 nouveaux joueurs (avec un overall de 80 en moyenne, pas plus). Mon frère, moi-même et 5 amis. Plus jeune, je créé au moins 20 joueurs amis (idem pour FIFA)… Les temps changent.

Niveau jouabilité, une grande avancée a été faite. Pour faire simple, il est maintenant possible de strafer (se déplacer latéralement) comme dans un FPS… Réaliste ? Oui. Les joueurs de hockey en sont tout à fait capables. En gros, en face d’un adversaire, on peut se déplacer sur le côté sans que le corps change de position. Le buste du joueur tourne légèrement selon l’inclinaison et permet d’être toujours dans l’action d’après.

Chose rare sur Critikale, voici une vidéo pour montrer l’efficacité de cette nouvelle technique. Suivez bien l’un de mes joueurs (défenseur) sur l’aile gauche (Cody Ceci). J’utilise cette technique pour exécuter une bonne passe au centre. L’action échoue lamentablement mais l’idée était là…

D’autres petites retouches sont bien venues niveau jouabilité. Les joueurs se déplacent d’une manière encore plus fluide, avec des ajouts d’animations réalistes. Le jeu atteint un niveau assez élevé.

Autre nouveauté bienvenue pour moi, les feuilles statistiques.

Autrefois, sur NHL 24 quoi, on ne pouvait pas revoir les stats des anciens matchs. Il y a longtemps, il était possible de cliquer sur une date du calendrier et revoir les stats. Plus possible depuis des lustres. L’option revient et est nommée « feuille statistiques ». Sur la capture ci-dessus, on peut voir mon incroyable taule contre Dallas (2e de la NHL l’an dernier, 0-4). Si je clique sur ce score, un résumé statistiques de l’équipe et des joueurs apparaitra. Il est moins complet que pendant un match mais parfaitement suffisant. Une chouette option pour les amoureux de stats comme moi.

Je rebondis rapidement sur cette défaite pour indiquer que je suis actuellement à 2 victoires pour 4 défaites. À part Chicago (défaite 0-1) et Anaheim (défaite 1-2) ou j’ai merdé, les 4 défaites au total sont dues a 2 équipes bien plus pénibles : Dallas (le fameux 0-4), Colorado (0-2). Respectivement 2e et 8e de la NHL pour la saison précédente. Mon premier match commençait pourtant bien avec une belle victoire 4-1 contre les Blues de Saint Louis (16e l’an passé). J’ai quand même gagné contre Winnipeg (4e l’an dernier, match difficile 4-2).

ALORS ÇA GLISSE OU PAS ?

Bref, je m’égare. NHL 25 est ultra abouti et j’en suis vraiment content, foncez ! Une petite feuille statistique sera balancée sur Critikale tous les 10 matchs environ. Le retour du vieux Slapshot Mag que je faisais plus jeune. Ça m’occupe et ça regroupe surtout plusieurs passions en 1 seule feuille… Comprenne qui pourra. Il y a bien sûr encore du boulot niveau patch (les replays par exemple) et toujours ces menus plutôt lents. Les développeurs de la série NHL devraient songer à prendre exemple sur FC24/25. Pas en copiant son interface (perfectible) mais en allégeant deux trois trucs.

Capture de mise en avant ci-dessus. Premier but d’un joueur créé (défenseur). Notons aussi une grande amélioration dans la présentation des matchs et en plus la présence presque systématique des mascottes.

MOT DE LA FIN

Je ne sais pas exactement quand je déménage, Critikale sera donc perturbé jusqu’à la fin de l’année…

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Star Trucker, Les trente-cinq tonnes légères

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Alors qu’il avait été désinstallé avec hâte, Star Trucker fait un retour plutôt étonnant, voire détonnant, sur le disque dur rouillé de la Series X.

Star Trucker est un jeu inclut dans l’abonnement Game Pass (Xbox et PC). Et ça, ça fait plaisir. Il arrive un peu avant un autre jeu que j’attendais : Expeditions (désinstallé depuis, pas très utile, du moins pour le moment, on verra plus tard).

Le jeu de développé par Monster and Monster, et édité par Raw Fury, ne m’a pas plu du tout au début. Pour une raison totalement idiote : je ne le maîtrisais pas. Pourtant, j’aime les jeux difficiles alors j’ai un peu rage-quit bêtement en me disait que c’était chiant à jouer et pas très utile. De plus en plus, il faut que j’adhère rapidement au jeu pour continuer à jouer. Très peu de jeu ont eu cette « chance » cette année. Mais c’est aussi une année complexe. Et justement, petit aparté Critikale.

AVENIR DE CRITIKALE

200 fermetures par an, autant de réouvertures (sans blague), ce site est flippant et mon manque de régularité a fait grandement baissé le nombre de visiteurs depuis 2005. Surtout depuis deux ans environ, j’ai perdu l’intégralité des captures du site. Ou plutôt, j’ai fait une erreur totalement aberrante de supprimer tout simplement ma base de données originale. Je peux remettre tout ça en ordre mais ça va me prendre un temps hallucinant. En effet, j’ai bel et bien une sauvegarde s’arrêtant à 2020 sur NamoWeb 5.5, logiciel que j’utilisais autrefois.

Bref, Critikale fera une longue pause de nouveau après cet article. Je vais encore déménager et les jours vont être très spéciaux… Des événements négatifs sont venus interférés dans cette situation qui était déjà merdique. La volonté des vidéos sur Critikale est bien réelle mais je ne sais pas comment m’y prendre, disons surtout je ne sais pas comment mettre « ma patte ». J’ai des idées mais je n’ai pas l’énergie.

ALORS STAR TRUCKER ÇA DONNE QUOI ?

Je ne vais pas faire long. Les éternelles captures et un peu d’explications.

Captures totalement en vrac hélas.

Le jeu est vraiment beau sur Series X, j’avais évidemment peur de l’optimisation. Et il faut aussi préciser que le jeu de Monster and Monster ne propose aucun mode graphique. Non, ici pas de mode Performances ou mode Graphismes à la con. Le développeur est sûr de son jeu, et nous avons là quelque chose d’abouti, de fluide et de beau. Oui, le jeu peut paraître vide mais de très nombreux élements volent partout avec des superbes effets de lumières et une atmosphère très bien retranscrite. Le jeu est continuellement beau et l’animation ne failli jamais.

Sur la capture ci-dessus, on peut apercevoir à gauche une autoroute (plus sûre que de passer tout droit à cause de nombreux déchets et astéroïdes dans l’espace). La mission active est toujours en jaune-or (à droite). Chaque lieu propose des stations services (vous pouvez aussi faire plein avec des bidons), des magasins (pièces et autres) ainsi que des entrepôts variés. Chaque région de la galaxie possède aussi différentes économies faisant fluctuer les courts des matières premières et éléments de jeu.

Le ravitaillement en carburant se fait aux stations services et par des bidons (le réservoir du camion se trouve sous lui). Le prix au litre est différent d’une région à l’autre. Ici, $0.55 est correct sans plus.

À chaque fois que vous devez vous arrêtez dans une boutique, pour prendre une mission ou pour attacher une remorque, vous devez aimanter l’élément souhaité à votre camoin (ou plutôt tracteur si on veut être précis). L’art de diriger au mieux le camion pour réaliser cette action est primordial dans le jeu. La caméra arrière permet d’être vraiment précis. Cette caméra est d’ailleurs un des rares élements du jeu à 24/30 FPS environ, aucunement dérangeant. En seconde capture, la caméra de recul de l’amarrage.

Junk Fields est une région très complexe si vous possédez une remorque. Les déchets y sont réellement nombreux comme le laisse supposer son nom. Mais sur la seconde capture, on peut apercevoir des « déchets » à récupérer. Ce qui est tout à fait possible dans d’autres régions (bidons, denrées alimentaires…). Cela permet de se faire un peu de pognon. Il faut sortir avec le scaphandre et rapporter ce que vous trouvez dans la cabine.

Il est vraiment dommage qu’on ne voit personne dans le jeu, aucun humain. Les voix américaines sont excellentes et il y a une super ambiance. On aimerait vraiment mettre un visage sur ces voix. Pas très grave en soit mais l’idée de sortir un peu du camion ou avoir un « bureau » quelque part dans la galaxie pourrait être un plus. C’est ce qui manque aussi à Snowrunner, l’absence de société à diriger, l’absence de pause. Il y a bien un lit dans la cabine qui fait office de décoration pour le moment, peut-être qu’on pourra faire évoluer tout ça dans le jeu.

Parmi les élements vitaux du camion, il y a les Circuits de Contrôle Universel (CCU ou UCC en anglais). Ainsi que les piles. Ce matériel se trouve dans les magasins de chaque région (à différents coûts). Vous pouvez bien sûr vendre ceux qui sont à zéro ou cassés (ce qui arrive quelque fois pour les CCU, plutôt fragiles et enclins à griller).

Et justement, pour ne pas qu’ils grillent, il faut absolument disjoncter la partie du camion où vous devez intéragir. Ne pas le faire fera griller directement le CCU ou pire…

Selon les chocs où l’arrêt de la gravité dans la cabine, il arrive que tout s’envole… Pour protéger les composants durement acquis, il est primordial de les mettre dans un coffre. Notons que si on veut vendre quelque chose, l’élément à vendre ne doit pas être dans le coffre à moins de vouloir vendre tout le contenu et le coffre lui-même…

Tout est rangé et organisé. Petite chose qui n’intéresse que moi, si vous mettez un coffre sur une étagère, le couvercle ne peut pas s’ouvrir totalement. Oui c’est évident mais de nombreux jeu ferait traversé le couvercle sur l’étagère au dessus. Le moteur physique du jeu est bon pour le moment, on sent réellemnet le poids des objets.

La boutique d’un marchand. Votre inventaire à gauche et celui du marchand à droite. Les infos importantes au centre. Les prix locaux sont importants, la valeur d’achat et de vente d’une pièce n’est bien sûr pas la même d’une région à l’autre. Le plus importants au début du jeu est de faire quelques missions et vendre les trucs inutiles du camion. Les filtres à air sont très important et c’est ce qui coûte le plus cher au début du jeu (dans les $2500).

Je rejoins de plus en plus les autoroutes afin de ne pas me prendre des débris sur la coque ou de me taper des amendes pour mauvaise conduite (ou conduite dangereuse, non professionnelle). J’utilise très rarement la caméra extérieure, étrangement car je l’adore sur Snowrunner mais Star Trucker s’y prête mal je trouve, le jeu est parfaitement jouable en caméra intérieure. Réparer les trous dans la coque n’est pas bien difficile mais il faut faire attention d’être réactif car l’oxygène devient vite rare. L’absence d’oxygène dans la cabine est la première cause de mort dans le jeu, et les coûts pour être remorqué sont énormes. J’ai déjà quitté plusieurs sauvegardes à cause de ça, me retrouvant à -$3000. La banque du jeu accorde des découverts mais il ne faut pas que ça dur.

La cabine est truffée d’informations utiles sur le camion. Ici, les 7 éléments primordiaux. Les réacteurs, l’oxygène, la sonde du climat, la gravité… Prenez bien le temps de regarder tout ça avec des missions longues. Idem pour le guide situé dans le vide-poche sous les compteurs.

Une fois la garantie du camion expirée, vous pouvez personnaliser celui-ci. Le garage d’amélioration est, quant à lui, dispo dès le début. Vous devez simplement vous présenter devant les hangars des garages, pas besoin d’amarrer le camion.

Améliorer le scaphandre permet d’aller toujours plus loin et plus vite. Utile si vous voyez des pièces à récupérer et vous faire de l’argent « facilement ».

Les deux écrans situés à gauche et à droite de la cabine comporte des informations primordiales. Soit différents caméras, ou comme ici à gauche, l’état de la remorque que vous transporter. Design excellent car simple et efficace. À gauche, en vue de face (et respectant le design de la remorque elle-même), l’état de celle-ci, et à droite, l’état de l’intérieur de la remorque, de ce qu’elle transporte.

Une longue (mais protégée) autoroute m’attend. Vous pouvez activer le le régulateur de vitesse. C’est 150 km/h max sur (dans ?) la plupart des autoroutes. Activer le frein ou l’accélateur désactivera le plus souvent ce régulateur, comme pour une voiture.

J’arrive pour prendre ma cargaison. Une fois la marche arrière maîtrisée avec la caméra de recul, rien ne devrait vous poser problème.

Comme je le disais plus haut, le jeu a l’air vide mais pas du tout. Les déchets et astéroïdes sont nombreux. Idem pour les bâtiments, les effets de lumière et tous ces détails qui rendent le jeu vivant. Le jeu reste à 60 FPS sur Series X.

Sauvegarder régulièrement dès que vous faites quelque chose d’important. Même si les sauvegardes autos existent, il n’est pas rare de faire une erreur qui coûte très cher (quelque fois presque $5000. Une sauvegarde manuelle permet d’éviter de vous arracher la tête.

Je parle souvent des menus dans mes articles. Ceux de Star Trucker sont excellents. Ici, la sélection du boulot à suivre. En premier onglet, la progression dans l’aventure. En 3e, la carte (voir plus bas), la cargaison (l’intérieur du camion + l’éventuelle remorque) et l’arbre de compétence.

Les zones de largage sont parfaitement indiquées. Il y a quelque fois un sens pour rentrer, sens uniquement là pour faciliter votre départ une fois la remorque détachée. Accrocher ou décrocher la remorque est très simple mais attention et ne pas faire l’erreur de la reprendre une fois celle-ci livrée… Ni de prendre une remorque qui ne vous appartient pas…

Le tableau des offres d’emplois (avec filtres possibles) et deux livraisons parfaitement effectuées, une très mauvaise et une dernière terriblement ratée…

La carte du jeu est précise. Le zoom permet de voir les infos importants de la région.

ALORS C’EST BIEN ?

Bien sûr que c’est bien… Star Trucker est tranquille, intéressant, et à des mécaniques de jeu excellentes. La conduite est bonne, les graphismes et l’animation sont au top, les différentes activités dans la cabine sont toujours ponctuées par un gameplay précis et agréable. C’est donc un grand oui. J’espère simplement que le jeu va s’améliorer. Qu’on pourra éventuellement se reposer (vous enchaînez sans dormir…) et avoir des activités encore plus diverses liées au transport. Pour le moment, je ne suis qu’au rang 6. Et la pause de Critikale ne va pas me permettre d’en reparler d’ici à la fin d’année je pense. Un petit article sera écrit rapidement au mois de septembre pour ma progression.

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2024

Vintage Story, ma cabane au fond du jardin

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Je continue l’exceptionnel Vintage Story. Ce jeu est en passe de faire une entrée fracassante dans mon Top 10 tous supports confondus. Mon Top 10 de coeur.

Quelques captures avant une très grande pause sur Critikale. Très très grande.

Assez tôt au début du jeu, la création de pièces en argile est primordiale. L’exemple le plus évident est la marmite et le bol. Il faut que l’argile soit préalablement cuite dans un four en fosse (un four enterré). Une fois la marmite et le bol cuits, il faut mettre la marmite sur un feu (de camp au début) et mettre quelques ingrédients. La recette résulte du nombre et de la qualité des aliments. Le bol sert quant à lui à prendre le contenu de la marmitte pour pouvoir le manger (le contenu pas le bol).

Au début du jeu, ce genre d’arbuste sera votre meilleur allié. Des baies diverses vous feront résiter à la faim pendant quelques heures mais il faudra bien vite apprendre à cuire ses aliments sur tout un tas de bestioles chassées.

Que ce soit tôt dans la matinée, la nuit tombée ou noire, la jeu est magnifique. Même s’il faut aimer les cubes, Vintage Story brille par tous ses petits détails. Le vent et la pluie ajoutent vraiment un petit truc en plus.

Une paillasse à l’arrache dans un vaste champs. Voilà de quoi dormir pendant 7 h (le max pour ce genre de lit).

Je pensais que cet endroit allait être un havre de paix, je me suis trompé totalement… Comme d’habitude d’ailleurs…

Première maison que j’ai essayé de construire (j’ai recommencé une partie pour mieux débuter ayant appris quelques trucs).

Une fois un arbre abattu, les quelques petites feuilles et morceaux de l’écorce de l’arbre volent au grès du vent. Respectant scrupuleusement son sens.

J’ignore ce qu’est ce truc. Si vous avez une idée, dites-le en commentaire (haha !).

Au loin, un petit feu de fortune que je quitte en m’enfonçant dans une nuit totalement noire.

Mon personnage a une bonne bouille (je choisi aléatoirement pour ce jeu).

Le jeu est magnifique je vous disais… Je suis à la moitié des performances du jeu (dans les options).

Ma maison actuelle, du moins le début. Je ne sais pas si je vais rester car comme vous le voyez sur la mini carte au dessus à droite, je suis sur un île, je trouvais ça rigolo mais en fait non. Trop de loups dans ce coin-là.

Comme indiqué plus haut, Critikale entre en grande pause (pour diverses raisons). Peut-être que je serai de retour vers septembre/octobre. Qui sait.

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2024

Bush Hockey League, pas de bras mais des jambes

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Profitant une nouvelle fois d’une ch’tite promo sur le Store Xbox (5€99) et profitant surtout de mes nombreuse ventes ces derniers temps de tout un tas de merde, j’ai vidé un peu ma liste de souhaits (réduite à 4 jeux dorénavant)…

Deux modes seulement dans ce petit jeu : Match Amical et Histoire. Ci-dessus, le menu principal du mode Histoire. Vous pouvez aussi regarder votre collection de cartes gagnées (pas très utile).

Sur cet écran, on peut accéder au calendrier, aux différentes classements (2 ligues de 5 équipes, et les joueurs). L’histoire est plutôt sympa car vous devez diriger les Hinto Brews qui sont en bas de classement suite aux nombreux problèmes rencontrés par l’équipe (très nombreux…).

Chaque match propose 3 objectifs différents. Comme indiqué sur l’encadré très rouge, gagner n’est pas nécessaire à moins que ce soit l’objectif principal.

Feuille statistique sobre mais efficace. Je suis diablement dingue de stats mais là ça suffit pour ce style de jeu.

Quelque fois, une feuille de journal est proposée sur le calendrier, c’est rigolo. C’est bien de rigoler.

Les matchs sont vraiment agréables. Il faut changer quelques trucs dans le menu des Options bien sûr mais globalement et étrangement les sensations sont là. Bien sûr nous ne sommes pas au niveau des NHL mais Bush Hockey League retranscrit suffisamment la glisse de la glace, les tirs et les charges pour figurer parmi les bonnes simulations de hockey. On peut avoir du plaisir…

ALORS C’EST BIEN CETTE DAUBE ?

Alors oui, c’est pas mal du tout (ça vaut 5€ pas plus).

  • Les points noirs pour moi sont simples : 10 équipes sur 2 ligues, c’est très très court, dommage car les équipes sont assez charismatiques.
  • Le mode Histoire est rigolo mais un vrai championnat en laissant pourquoi pas des objectifs serait un plus. Pour une raison évidente, le jeu est vraiment plaisant !
  • Les bagarres sont pénibles. Soit je suis mauvais (ça reste possible), soit c’est injouable.
  • Pas de création de joueurs, ça pourrait être logique pour un tel jeu.

En gros, Bush Hockey League est un bon jeu, avec de belles possibilités. Il manque du contenu mais je vais quand même attendre d’avancer un peu dans le mode Histoire, peut-être que j’aurai une surprise et que certains trucs seront débloqués.

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2024

Vintage Story, fou rire et galaxies

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Je pense que Vintage Story va tourner en boucle sur mon PC… Le jeu est vraiment intéressant et il a réussi à m’apporter un vrai fou rire sur un plateau. Incroyable.

Je vole tout de même de galaxie en galaxie avec la mise à jour 5.0 de No Man’s Sky (Xbox Series X). De petits plaisirs sympas pendant mes vacances. Je ne partirai qu’aux prochaines car j’ai trop de rdv à gérer…

Petite capture avant de parler de Vintage Story.

Je suis toujours sur ma planète gelée (-60°C) et je continue gentiment à progresser.

VINTAGE STORY, FOU RIRE ET OURS MEURTRIER

J’ai vu une grosse bête…

Alors que je me baladais tranquillement dans cette forêt verdoyante, où seuls les gazouillis des oiseaux et des petits papillons frêles voletais autour de moi comme des moucherons à la con, j’ai eu comme une frayeur…

L’ours rigolo que vous voyez dans la flotte (oui j’ai vraiment pensé qu’il ne me suiverait pas…) m’a donné un fou rire hallucinant… J’ai eu tellement peur en me retournant dans la forêt et en voyant cette grosse bête que j’ai sursauté et en criant comme… (comme quoi d’ailleurs, tous les mots après cette phrase seront mal perçus en 2024…)… Ma frayeur fut telle que j’ai renversé quelques trucs de mon bureau à cause de ce spasme de terreur ! Cette situation de peur risible était tellement débile que j’ai rigolé pendant 2 minutes de ma connerie (ce qui est une prouesse, je parle de rigoler pas de la connerie).

Vintage Story va tourné énormément pendant mes vacances, c’est certain ! Après ça va se compliquer.

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2024

Destruction Derby, le jeu de société abandonné

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Même si j’ai retourné depuis de longues années le problème dans tous les sens, il n’y a rien à faire, je n’arrive pas à trouver une règle parfaite pour réaliser ce type de jeu…

Vous le savez, Destruction Derby est mon jeu préféré. Étrange car il n’est pas dénué de défauts, comme tout à chacun. Mais Destruction Derby, c’est surtout des souvenirs. Des souvenirs de câble LINK PlayStation, des souvenirs d’une découverte incroyable lorsque le jeu a été proposé pour la première fois sur la première PlayStation. Des souvenirs encore, de ces pilotes charismatiques qui pourtant étaient totalement sous-exploités (ils ont pourtant bien une histoire, toutes et tous).

Bref, adorateur mais non-joueur maintenant de jeux de société, j’ai toujours voulu retranscrire l’excellence des courses de Destruction Derby dans un jeu de plateau. Les courses de stock-car sont actives, rapides, précises. Impossible donc de retranscrire toute l’excellence d’une course de Destruction Derby (ou de Demolition Derby, le vrai terme) dans un jeu de plateau. Je voulais des voitures (au 1/144e), je voulais que chaque écurie du premier et véritable Destruction Derby soit vivante. J’ai tenté plein de régles différentes et force est de constater que la seule solution était de créer un jeu de cartes, tout bêtement. Mais là encore, la règle est complexe, pas assez fluide ou inintéressante.

Voici mes derniers « travaux » sur Illustrator. Je fais une pause pour le moment, bien des choses seraient à montrer (des ébauches de régles) mais rien de concret, hélas.

Les cartes, une des (trop) nombreuses versions.

Les feuilles de courses ainsi que la liste des écuries (il y a 100 pilotes en tout, je me suis toujours concentré sur les écuries connues du premier Destruction Derby).

Ce n’est pas grand chose mais ça m’occupe l’esprit de temps en temps, et c’est là le principal. Nouvelle visite de maison demain, j’espère que je ne vais en faire des cauchemars comme celle de la semaine dernière…

Dernière petite chose, des projets actuels de vectorisation de monuments.

Projet en cours du château de Fontaine-lès-Dijon. L’église de cette même petite ville est aussi en projet.

Un autre projet presque terminé du musée de Champlitte.

C’est tout, au revoir.

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2024

Vintage Story, mi or mi raison

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C’est avec un clic impérieux que ma main si docile en temps normal, à toucher le bouton « achat » de Vintage Story sur le site officiel. Et là, la magie a commencé…

Vu que je débute totalement dans le jeu, j’ai dû – par plaisir bien sûr – regarder (de nouveau) une vidéo YouTube de l’ami DanField (ci-dessous).

J’ai découvert le jeu il y a bien longtemps mais je n’avais pas 18 € à dépenser. Les temps sont durs pour des dizaines de raison et même si on peut toujours se passer de nourriture et de plaisir du quotidien, il faut bien se faire plaisir. Ce n’est pas aussi catastrophique que ça (j’ai un toit et une santé correcte) mais je fais gaffe, comme on dit.

LE CAS MINECRAFT

Vous le savez, j’adore Minecraft. Mes souvenirs sur ce jeu font partie de ma vie de joueur. Minecraft est immense mais au fil du temps, je l’ai trouvé très vide. Le fait que le jeu n’est pas évolué graphiquement m’ennuie profondément, surtout lorsque je vois d’autres titres qui n’ont rien à envier niveau contenu, niveau grandeur de map. L’aspect survie de Minecraft est plutôt absent et même si le jeu est extraordinaire à deux ou plus pour réaliser quelque chose de grandiose, ça reste extrêmement lassant. Cela fait longtemps que je ne l’ai pas lancé, sur quelconque support.

Quelques captures ci-dessous pour donner le ton.

Ma partie a débuté sous la pluie. Je commence à rechercher des cailloux, des branches, et quelques autres bidules pour fabriquer mes premiers outils.

Le roseau est un élément important du jeu (voir vidéo de DanField). Il sert par exemple à fabriquer des sacs afin de transporter plus de choses. Le Guide de Vintage Story est très bien fait et même si on note une absence totale de didacticiel, il suffit de jeter un oeil sur ce fameux Guide et on apprend beaucoup de petits élements nécessaires à notre survie. Le jeu ne nous prend pas par la main est c’est tant mieux.

Comme vous le savez, mon PC n’est pas calibré pour le jeu (carte graphique assez « ancienne », une 2070 Super) et je ne vais pas améliorer cela. J’ai laissé ce que le jeu a proposé par défaut, à savoir une pré-configuration « Haut » et non « Maximum attendu » comme les 30xx/40xx pourrait se permettre, sans doute disons. Mes 128 Go de RAM ne servent à rien, même sous Photoshop ou Illustrator, l’optimisation de mon PC est naze.

Contrairement à Minecraft, si vous cassez le bloc inférieur d’un arbre, c’est tout l’arbre qui tombe. Réaliste évidemment. J’ai joliment fait avec quelques feuilles et écorces qui tombent en flottant pendant quelques secondes. Superbe.

L’eau est bien plus belle que dans Minecraft. Même si sa physique est tout à fait similaire (je n’ai remarqué aucune différence pour l’instant), c’est bien plus agréable de tomber dedans…

Le « mi or mi raison » a une signification cachée (comme tous mes titres à 100 %).

C’est tout pour aujourd’hui. Article prochain sur Destruction Derby.

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2024

No Man’s Sky, le triple saut

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Mise à diposition ce mercredi 24 juillet 2024, la mise à jour 5.0 de No Man’s Sky est aussi immense qu’annoncée. Immense car elle montre qu’une équipe de développement peut créer l’excellence avec du talent.

Discrètement, selon vos paramètres, la mise à jour de No Man’s Sky va être installée. C’est un voyant la vignette du jeu en premier (à gauche) dans les mises à jour récentes que j’ai su que No Man’s Sky avait subi quelques récentes transformations.

Les captures.

Le jeu commence comme d’habitude, il faut réparer son équipement, assez rapidement en règle générale. Ici, j’ai atteri sur une planète à +65.4°C alors l’urgence est évidente.

Le guide est toujours aussi bon, il n’a guère changé depuis 2016. Il s’est amélioré bien sûr, surtout pour la lisibilité de l’ensemble (comme pour les menus d’ailleurs). Impossible de ne pas comprendre quelque chose dans No Man’s Sky.

Je ne me rappelle pas qu’il existait des champs de plantes à oxygène… Peut-être que si mais en tout cas c’est appréciable car la seule manière évidente d’en trouver était d’activer le scanneur.

Autre ambiance sur cette planète à -51°.5°C… Le jeu gère bien plus efficacement les éléments liés au climat.

Toutes les captures ne reflètent aucunement la beauté du jeu. J’ai vraiment été surpris de la différence avec les versions précédentes (je joue sur Series X). Enfin l’aventure peut commencer de la meilleure manière qui soit : fluidité et beauté, et contenu.

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