Connect with us

2013

Un peu de jeu avant le Grand Article

Published

on

Une si longue attente de mises à jour et il y a forcément des choses à dire niveau jeu ! Voici quelques achats sur Steam ces derniers jours. Pour la plupart des petits-prix.

Pendant que ma connexion à deux balles dans ce nouvel appart télécharge l’early access de Next Car Game, commençons par l’étonnant mais moyen Shufflepuck Cantina Deluxe. Shufflepuck Café (1988) était sans nul doute possible un des jeux Atari ST qui tournait le plus régulièrement dans cette brique grise. Ce nouvel épisode qui n’est pas la suite du « café » est plutôt sympa mais sans plus. Je n’ai toujours pas trouvé comment modifier la résolution même si je doute que cela soit possible.

Pour le moment, peu de temps de jeu (environ 1 heure). Le fonctionne fonctionne simplement. Vous atterissez sur une planète inconnue et vous devez vous repartir… mais avant cela, acheter des pièces pour votre vaisseau. C’est ainsi que vous rentrez dans le premier et seul, bar venu et là commence la compétition. Les musiques de Shufflepuck Cantina Deluxe (pourquoi Deluxe ?) sont réellement bonnes et certaines ressemblent à s’y méprendre au vieux Shufflepuck Café. Peut-être que ce sont les mêmes d’ailleurs mais n’y a t-il pas des droits ? Où ont-ils été accordé pour cet épisode particulier ? Je ne me suis pas renseigner. Dans la capture ci-dessus, on peut voir différentes choses. J’ai 4 jetons que je peux dépenser dans les machines à sous (une par étage du bar). J’ai 13.100 points d’expérience. J’ai aussi 1.047 credz, la monnaie du jeu. Le niveau 7 (actuellement) est facile à atteindre mais je me lasse déjà du jeu. Je ne le trouve pas ultra jouable comme son illustre ancêtre. Où j’ai simplement perdu mon ancien niveau.

Les matchs sont très limpides. Chaque adversaire à un coup spécial et quelque fois un point faible. Ici, je suis contre Ayato, un adversaire moins moyen que le laisse paraître le score (4-0 pour moi). Le jeu reste très plaisant à jouer mais est vraiment lassant comme indiqué plus haut. Et j’avoue que cette légère inertie pour le déplacement du palet est vraiment chiante. J’y reviendra de temps en temps et reposterai des captures.

Continons par un titre étonnant, je n’ai téléchargé que la démo, j’attendrai un peu pour me décider pour le jeu complet. Gas Guzzlers Extreme et un jeu de bagnoles débarqué sur Steam au mois d’octobre 2013. J’ai téléchargé la démo pour simplement jouer à un jeu de caisses.

Les menus sont propres, rapides et agréables. Tout est facile d’accès et donne envie d’avancer.

Très jouable et vraiment beau (la capture ne rend pas justice au jeu), Gas Guzzlers ne sera cependant point acquis. La raison est ultra simple : le jeu doit être horriblement lassant en solo et je ne joue pas en réseau sur PC. Mine de rien, une réelle bonne surprise qui sera lancée quelque fois depuis ma bibliothèque Steam comportant maintenant quelques 60 jeux.

3e jeu de ce billet, Speedball 2 HD. Un jeu que j’attendais avec une très grande impatience lorsque j’ai su qu’il arrivait sur PC. J’avais bien aimé la version iPhone du temps où j’en possédais un et je me disais, stupidement, que cette version allait être boostée à la sauce PC. Rien de tout ça.

Autrefois, il n’était pas étonnant de perdre un match à Speedball (versions Megadrive, Atari et autres vieux trucs) car les matchs étaient très serrés et on devait batailler ferme pour remporter une rencontre et ainsi, atteindre la division 1. Comme vous le voyez ci-dessus, sur le papier les Super Nashwan étaient bien plus forts (mais aussi très offensifs), hélas pour eux, j’ai gagné par 278 à rien. Le jeu est vraiment très facile et il suffit d’avoir quelques stars dans l’équipe ou de piétiner le gardien pour marquer. Sur les autres supports, plus anciens, la défense était plutôt difficile à passer avant le portier.

L’argument était facile (plus de 300 joueurs uniques dans cette version HD). Ce sont bien sûr des personnages quasiment identiques qui sont proposés avec bien sûr des stats différentes. J’aurai aimé une vraie création d’équipe et une gestion bien plus poussée de l’effectif. Là, franchement, je suis ultra déçu même si cette version n’est pas mauvaise en soi. Comme Shufflepuck Cantina, le jeu est très lassant.

Finissons par mon coup de cœur ! Ceux qui me connaissent savent que je suis particulièrement friand des jeux où il faut taper le plus vite possible sur son clavier (je joue quelque fois à Type Racer et mon jeu PopCap préféré, celui où j’attends toujours la suite et la version française est l’incroyable mais vrai Typer Shark). Ce dernier est d’ailleurs introuvable en passant directement par le site officiel de PopCap. Je l’avais acheté il y a bien longtemps. Bref, l’étonnant The Typing of The dead fut directement dans ma collection Steam dès qu’il fut dispo. Et en plus, j’ai loupé de peu la promo à 8.99 €. Je l’ai donc acheté 13.99 €…

Un nouveau niveau terminé avec 91 % de précision (pas mal mais sans plus) et 1705 lettres saisies. Quelques mots restent difficiles en anglais car je réfléchis un peu trop quelque fois avant d’écrire…

Les dialogues de Typing of the Dead sont fidèles à ceux de House of the Dead. Touchants…

Ce bosse particulièrement laid me rappelle étrangement quelqu’un. Etant plus jeune, j’avais d’ailleurs la même coup, les seins en moins.

Hop, plus de tête. Les graphismes ne sont pas glorieux mais restent agréables et le jeu propose un bon moteur physique.

Pour le moment, aucun civil tué. Les premiers niveaux sont assez faciles.

Plus le cadre est rouge, plus il faut s’occuper de ce zombi particulièrement. On peut annuler une frappe en tapant la touche « retour arrière ». Idéal pour annuler un mot pour frapper une lettre afin d’éviter un couteau par exemple.

Pas besoin de mettre des majuscules mais les tirets et espaces oui.

Un jeu que j’adore ! Je vais en refaire une petite partie dès demain car enfin, je ne travaille pas. À très bientôt pour le Grand Article qui sera mis en ligne dans la journée de dimanche…

2013

Année de merde, réveillon de merde

Published

on

By

Il faut croire que l’article du 29 décembre, le fameux Grand Article a fait beaucoup de dégâts. Qu’importe, il fallait que ça sorte et au moins, j’aurai la satisfaction de repartir pour 2014 en étant vide de mes maux.

Chose rigolote, le logo de Critikale a subit un lifting. Mais ça on s’en balance. C’est vrai qu’après mon 4e verre de rhum, je ne suis pas très net, déjà. Ce soir, comme vous le savez maintenant, je suis seul. Car je l’ai souhaité. Je l’ai souhaité en n’étant pas forcément un gars idéal. Je l’ai souhaité en étant pas forcément aimable à 100 %… Mais vu que l’année 2013 fut horrible au niveau du stress qu’elle a apporté, il faut bien que je sois seul ce soir pour éviter de refaire de continuelles erreurs. Je me suis donc acheté, en sortant du boulot, quelques aliments pour faire ma soirée. Or, bien sûr, le principal était périmé ! Merci Carrefour de ne pas vérifier les dates de péremption et surtout, de laisser des trucs vaseux en rayon… J’aurai dû regarder, j’en étais sûr comme on dit… Ce soir, je n’ai que du thon et du café pour me faire un petit repas. Je ne souhaitais pas rester sur une note de merde alors j’ai commandé une pizza chez Pizza Hut. Trop pathétique… Le manager m’a contacté me disant qu’ils fermaient à 21 h ce soir et que je ne pouvais pas avoir ma commande à 21 h pile comme souhaité. Je me suis excusé en disant que je n’avais pas la notion du 31 et ai bien sûr accepté que ma commande arrive plus tôt. Histoire de libérer les livreurs tant qu’à faire, logique. Il n’y a qu’un con pour commander une pizza le 31 décembre et surtout ne rien avoir dans le frigo à part du thon dans tous les placards… De toute façon, je n’ai pas de four… Ce qui n’a rien à voir mais ça mérite d’être souligné.

Ce soir, je suis donc seul avec ma pizza devant Avatar ou 300 (très gai). C’est totalement de ma faute et j’assume. Mon 5e verre de rhum va peut-être répondre à cette question, et me jeter par la fenêtre ou me poignarder avec un Laguiole ne serait-il pas mieux après tout ? Presque normal après cette année-là.

Continue Reading

2013

Happy birthday to me (& Gisèle)

Published

on

By

Il est là, le fameux article « happy birthday to me ». Mais qui est donc Gisèle ? Une excellente actrice tout bêtement et dont j’ignorais la date de naissance jusqu’à hier, 14 juin 1914 (99 ans).

Vous le savez (© Jean-Pierre Pernaut), cette année est particulière car j’ai perdu celle que j’aime et la seule qui me faisait avancer dans la vie. Ô bien sûr, tout ce que je dis ici est bien niais et mine de rien, cela arrive régulièrement. Rien que cette année, je ne compte plus le nombre de couple qui se sépare. Soit je porte la poisse, soit c’est tout bêtement la vie. Je penche bien sûr pour cette seconde solution plus plausible. Mine de rien, je suis bien las de tout cela. Mais ce jour est particulier, c’est le jour de mes 36 ans. Et si l’horloge du Mac indique une journée du 14 juin 2013 bientôt terminée, déjà, j »ai un maigre espoir que la vie me soit plus douce les six prochains mois.

Comme toujours je commence par mes remerciements. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je vais adresser mes premiers baisers de joie à mon ex… Qui m’a souhaité mon anniversaire en avant-première, à minuit 04. Mon téléphone était déjà éteint car même si je ne me suis pas couché tard hier, je coupe ce dernier très tôt. Merci mon Nem, toi qui garderas ce surnom pour toujours et qui sera éternellement dans mon coeur, interdisant l’accès à un autre amour pendant bien longtemps… Merci pour tes cadeaux, ils m’ont font très plaisir, comme tout ceux que tu m’as offert pendant 8 ans. Je ne voulais pas de présents de ta part pour une raison que tu vas peut-être comprendre maintenant : cela me fait de nouveaux souvenirs, récents en plus, oui. Des souvenirs que je ne souhaite pas. Si je continue à vivre dans ces souvenirs, qu’adviendra t-il de moi ? Ta bouille de Nem me manque…

Merci à mon ami Raph, Anthologik sur ce blog. Merci d’être là, merci pour tes précieux cadeaux, merci merci merci. Des bisous à toi aussi et j’espère te connaître encore des paires d’années. Merci à Stephouille. Aucune nouvelle depuis des lustres mais l’agenda des smartphones aidant, j’ai eu droit à mon joyeux anniversaire. Remerciements sincères bien sûr même si l’acidité de mes mots peut te peiner. Rassures-toi, c’est juste la tristesse qui me fait réagir ainsi. Merci à ma mini mère. Il y a quelques temps, tu ne m’aurais pas envoyé de texto vu que tu ignorais l’usage d’un téléphone portable ! Les temps changent comme on dit et toi avec, en bien. Même si ta tristesse au boulot et ta fatigue due à une vie trop dure m’inquiète, je serais toujours là pour toi. Tiens bon la barre ma Bouboune. L’éclaircie vient après la pluie, et tu me pardonneras de citer un film, mais c’est un des plus beaux. Tout comme l’amour que je te porte.

Merci à mon père et à ma petite soeur. Vous êtes loin de moi mais je penses à vous. Là encore, les temps sont durs et j’ai une rancœur démentielle mais je vous aime tous les deux. Merci pour vos bons mots. Merci encore à Caroline et à mon frère. Mon frère, qui est le seul à m’avoir appelé lorsque tout le monde communique par texto et par mail. Merci pour ça car je ne suis pas un grand bavard. Je vous tiens dans mon cœur pour toujours, merci Caroline, merci Gaëtan, merci Louis. Merci bien sûr à mon Mat, mon Matt, et mon Nico. Mat, pour avoir été là ce soir et malgré tes 15 grammes dans le sang, tu possèdes une présence importante à mes yeux. Tu es une bonne personne, ne l’oublies jamais. Merci de nouveau à Matt, mon ours préféré. Tu as dégainé sur Twitter presque le premier et tu es toujours à l’heure, là où il faut être. Un gros bisous à toi vieux frère. Merci à Nico, ce vieux bouc, qui malgré son air grognon et un bonhomme, un vrai. S’entourer de bonnes personnes et l’art de la vie.

Merci de tout cœur à mon Fav, le jeu que tu m’as offert ce soir (Battefield 3 Premium) télécharge ses dix mille mises à jour. Je suis à la 2e seulement et les 1.92 Go demandés sont à 23 %. Plus que 15 Go et je pourrais commencer à jouer ! Merci en tout cas, car tout n’a pas été facile entre nous ces temps-ci. Un merci un peu spécial à Dim et Estelle, merci de ne pas m’avoir laissé seul ce soir car je n’arrive plus à faire bonne figure. Et votre invitation dans ce bon vieux restau, certes à la dernière minute, était fort bien venue. Je vous remercie pleinement. Merci bien sûr pour le très beau cadeau. Un cadeau particulier que j’affectionne. Je vais aller acheter une pompe pour la gonfler… Euh non là je divague !

Je pense avoir fait le tour et si j’oublie des prénoms, je m’en excuse gravement (j’oublie toujours quelques uns chaque année). Merci tout de même à certains collègues de boulot d’avoir glissé un « bon anniversaire » dans le « ça va » matinal et régulier. Petit appel pour Fabrice, ex collègue, je n’ai pas de nouvelle, ça me désole. Et ce n’est effectivement jamais moi qui en donne.

L’année 2013 est une année triste. Je vais faire en sorte qu’elle ne le soit plus. Bientôt.

Continue Reading

2013

Quelques captures et des corrections

Published

on

By

J’ai dû faire de nombreuses corrections sur l’article du 14 juin. Je devrais vraiment me relire dorénavant. Des erreurs de frappe par dizaine, une horreur. Mon ancienne prof de dactylographie me mettrait encore plein de zéros.

Voici plusieurs photos prises un peu à l’arrache car je ne trouve pas de jeu qui me plaise et même si les articles un peu plus sérieux vont bientôt arriver, ça me désole cette absence de jeu.

Au début de la démo (et du jeu sans doute), il faut aider un mec qui se bat avec des zombis. Notons qu’il se fait mordre une trentaine de fois pendant qu’il galope avec vous mais rien n’y fait, il reste humain.

La recherche d’indice est bien faite. Il suffit de regarder autour de soi et de voir un point d’interrogation. Concentrer son regard et le tour est joué. Une technique sympathique, déjà utilisé dans quelques titres mais plutôt agréable ici.

Se balader dans une forêt remplie de zombis, le pied ! Vous en voyez un sur la gauche d’ailleurs… Une silhouette inquiétante à côté des arbres. C’est vraiment dommage que le jeu rame atrocement. Il n’est pas si laid que ça, loin de là.

La carte est plutôt grande même si elle doit se faire assez rapidement (avec la conduite des véhicules plus tard). L’amas vert (avec le drapeau et la barre vert fluo) au-dessus à droite de la carte est votre point de départ. Dans la démo je le répète, j’ignore si c’est le cas pour le jeu complet.

J’ai trouvé cette mission vraiment originale et pourtant tellement banale ! L’interface du jeu est sublime, malgré le relative laideur de l’ensemble (le jeu en lui-même) et les grosses lacunes techniques, les menus sont superbes. La police de caractères est excellente.

C’est tout pour ce State of Decay, je n’ai pas acheté le jeu complet et je ne l’achèterai pas. Bien trop de lacune à tous les niveaux même si le potentiel était là, quel dommage. Les notes de la presse spécialisée ne sont pas choucardes et pour 1.600 MSP, on s’attend à quelque chose de grandiose, à l’instar de Minecraft… Avec une durée de vie gigantesque.

Passons à Battelfield 3 Premium, qui, je vous le rappelle, m’a été offert par un ami à mon anniversaire. Très longue partie ce soir pour gagner au final le match, cool…

Le téléchargement des cartes a duré une nuit complète (encore que, plutôt 4 heures environ). Édition Premium oblige, tout était gratuit.

Voici la partie de ce soir. Je suis 3e avec un score minable de 31 tués pour 47 morts… L’ami qui m’a offert le jeu est deuxième avec 49 tués pour 58 morts. Notons aussi la présence d’un collègue surligné en vert avec 10.886 points.

Pour le moment, je n’accroche pas. Pour une simple raison c’est que le jeu n’est pas assez tactique. Malgré une belle entente entre nous trois ce soir, ce ne fut pas glorieux et je n’ai pas trouvé notre partie intéressante. Cependant, cela n’enlève en rien l’excellence du jeu. C’est simplement pas mon trip. Je préfère un Gears of War en Horde et en équipe, un jeu plus posé ou il faut absolument s’entraider. Vous remarquez la durée plutôt grande de notre partie, 1 h 28 tout de même ! C’était serré.

Je vous laisse ici car une lecture m’attend (bien qu’il soit 3 heures du matin…). Bon dimanche à vous !

Continue Reading

2013

Les archives de 2012 sont disponibles !

Published

on

By

Ce n’était pas la joie lorsque j’ai remis en forme les archives de 2012 mais il faut bien relancer Critikale. Les 12 mois de cette étrange année qui n’augurait rien de bon donc, sont en ligne.

Je vous laisse apprécier le « happy birthday to me » de l’année 2012, bien rigolo, et tellement naïf. Les archives de 2011 seront en ligne ce soir, les autres suivront très vite. Je vais continuer sur le disque 2 de la première saison de Hero Corp (l’un de mes excellents cadeaux d’anniversaire). J’en reparlerai ce soir. Simon Astier est, pour l’instant, comme son demi-frère Alexandre Astier, un réalisateur hors-pair. Casting excellent, dialogues percutants, décors réalistes proposant un tournage simple mais subtil, du très bon niveau.

Continue Reading

2013

Les archives de 2011 sont disponibles !

Published

on

By

Elles furent difficiles à mettre en ligne, pour les souvenirs bien sûr, pour la chaleur (je vais crever) et pour la taille des mois…

J’étais très en forme en 2011, du moins à l’écrit car les mois de cette année-là étaient bien longs. Les archives 2011 sont donc accessibles via le menu de droite. Notons que mon dernier achat, le livre Petit cours d’autodéfense intellectuelle est difficile à lire. Mais je vais y arriver. Une petite partie de Battelfield 3 et j’y retourne, dans ce drôle de bouquin. Pas de Hero Corp ce soir mais seulement vendredi.

Continue Reading

2013

Les archives de 2010 sont disponibles !

Published

on

By

Même si je croise des insectes de douze mètres de long et de 3 mètres de haut, j’ai le courage de bouger jusqu’à mon bureau et mettre les archives 2010 en ligne !

Mes chattes fondent tout comme moi et malgré tout, je bosse et vous pouvez donc accéder aux archives 2010 sur le menu de droite. Chose étonnante, les Pensées actuelles sont de retour sur le menu principal…

Continue Reading

2013

Les archives de 2009 sont disponibles !

Published

on

By

Cette fois-ci, point d’insectes de 12 mètres de haut mais des grêlons de 5 mètres de large… J’ai aussi écrasé deux ou trois araignées monstrueuses…

Comme annoncé, les archives de 2009 sont en ligne. Passionnantes les news sur Critikale ces temps-ci non ? Je vais me lancer sur Battlefield 3 et continuer à lire. Je n’achèterai pas Last of Us sur PS3 car c’est trop cher et il ne me fait plus trop envie. Idem pour NHL 13, je voulais le reprendre (25 €) mais j’attends NHL 14 sur Xbox 360 (aucun NHL sur console next-gen cette année). Je vous salue.

Continue Reading

2013

Toutes les archives sont disponibles

Published

on

By

En effet, les archives de janvier 2005 à mai 2013 sont remises en ligne. Il est tard, je suis complètement crevé. Je reprends le site depuis 21 heures ce soir, il est minuit passé et nous sommes le 21 juin.

Critikale peut reprendre le cours normal des choses et nous attaquons dès tout à l’heure avec un nouvel article. Le site possède maintenant un header noir et le logo pour la première fois en blanc (le logo original d’ailleurs).

Continue Reading

2013

La fête de la musique sans la fête… et sans musique

Published

on

By

Ça donne quoi s’il n’y a ni fête, ni musique ? Bah une soirée normale. Une journée de ménage pour le plus grand désarroi de mes chattes qui filaient un peu partout pour éviter l’aspirateur…

Aujourd’hui, pendant quelques courses, j’allais craquer pour Last of Us. Mais je me suis rétracté. Déjà il est repassé à 65 € chez Carrefour (au lieu de 55 €) et c’est vraiment un achat inutile. L’unique jeu que je vais acquérir est donc NHL 14. D’autres suivront peut-être si j’arrive à me payer une Xbox One… Une Xbox One avec une manette supplémentaire, deux jeux (Battelfield 4 et Forza 5), ça ferait combien ? Le suicide de mon banquier certainement.

En parlant de Battlefield, voici une capture prise hier sur le Battlelog (le site officiel qui gère les statistiques et autres informations).

Vous pouvez remarquer (ou pas) que les images sont dorénavant en 750 pixels de large et qu’il y a le retour du contour. Bref, les résultats que vous voyez ci-dessus est le score final d’une partie en mode Conquête. Je suis grisé doublement. En gris clair car je me suis fait bannir (!) et en foncé car j’ai cliqué sur mon pseudo, tout bêtement… Banni car… ben car je ne sais pas… Nous étions à la fin de la partie et l’administrateur a décidé de m’exécuter et m’envoyer de là où je venais. J’avoue ignorer le pourquoi du comment. 22 tués pour 15 morts, pas mal, pas extraordinaire car je me suis relâché vers la fin.

Continue Reading

2013

Hero Corp, des héros ordinaires aux supers acteurs

Published

on

By

Comme prévu dans ma tête à moi, j’ai fini de regarder la saison 1 de Hero Corp. Le 3e et dernier DVD (le 4e étant les bonus) a été gobé par mon lecteur Blu-Ray vieillissant, mais suffisant.

Que penser de cette fameuse série que je connaissais mais qui ne m’a pas assez convaincu pour faire partie de ma vidéothèque il y a bien longtemps (octobre 2008 – et ce que je faisais en octobre 2008…).

Les premiers épisodes furent excellents. Je me demandais ce que Simon Astier faisait dans ce village aux gens bizarres. Je me demandais pourquoi ils le regardaient d’un drôle d’air, ou le bar renfermait un serveur qui gelait les verres pour obtenir du thé glacé ou refroidir un café trop chaud,  un autre se figeait de temps en temps en prononçant certaines paroles, ou encore un autre essayait tout simplement de le tuer, d’une étrange façon. Les épisodes commençaient franchement bien et j’adorais l’ambiance particulière, simpliste, qui se dégageait de cette étonnante série. Hélas, au fil des épisodes, lorsque le super méchant a été découvert (le faux super méchant…). J’ai continué la série sans réelle conviction bien que je vais m’acheter la saison 2. Deux raisons à cela, son prix ne doit pas être élevé et je tiens à féliciter, platement, les acteurs de cette série pour leur jeu tout simplement parfait. Aucune fausse note, ils sont à fond dedans et suivent Simon Astier avec délectation. Je serai aussi le premier acheteur de la troisième saison, tournée en février en Bourgogne (le réalisateur étant né à Dijon). Je suis tout de même un peu déçu car on tenait là une série à la hauteur de Kaamelott, hélas, mister Astier s’est un peu perdu au fil des rebondissements, qui, justement, ne rebondissaient plus. Mais attention, je suis bel et bien devenu un fan. C’est ça, l’excellence de la famille Astier.

Continue Reading

Ça peut vous plaire !

Copyright © 2005-2025 Critikale.com